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Paris - Fondation Vuitton
Jusqu’au 2 mars 2026.
À 93 ans, le peintre allemand Gerhard Richter reste fidèle à son principe de n’avoir pas de programme, mais que des incertitudes et de jouer avec l’insécurité, alternant en permanence figuration et abstraction, avec une obsession : interroger le statut de l’image au sein de la peinture. L’imposante rétrospective que lui consacre la Fondation Vuitton dévoile un panorama de soixante ans de carrière en 275 œuvres.
Paris - Musée Bourdelle
Jusqu’au 12 avril 2026.
Magnifique hommage à la sculptrice polonaise Magdalena Abakanowicz (1930-2017) qui a révolutionné l’art de la tapisserie au début des années 1960 en la transformant en sculpture tridimensionnelle, troublante et symbolique, marquée par les aléas de son destin.
Paris - Musée d’Art Moderne
Jusqu’au 8 février 2026.
Organisée avec le concours de l’artiste, c’est la plus importante exposition à ce jour de l’œuvre de George Condo (né en 1957 à Concord, New Hampshire). À la fois peintre, dessinateur et sculpteur, George Condo développe un univers singulier nourri par une culture visuelle prolifique qui parcourt l’histoire de l’art occidentale des maîtres anciens à aujourd’hui.
Paris - Musée de l’Homme
Jusqu’au 25 mai 2026.
La momification a été pratiquée sur tous les continents depuis des millénaires, révélant le désir de mémoire et d’éternité des humains hantés par la mort et la disparition. Elle a aussi suscité et suscite toujours une véritable fascination. Cette exposition explore l’histoire de quelques individus momifiés, et nous fait découvrir l’importance et la diversité de cette pratique à travers le monde.
Musée Maurice Denis (St Germain-en-Laye)
Jusqu’au 1er mars 2026
Cette exposition a le grand mérite de faire ressurgir une figure majeure et attachante du mouvement nabi et, au-delà, du bouillonnement artistique de la Belle Époque. Un artiste connu aussi pour son engagement dans le combat social, la lutte dreyfusarde et la vie politique, proclamant : « Mon arme : le crayon ».
Paris - Musée Jacquemart-André
Jusqu’au 22 février 2026.
Le musée Jacquemart-André expose une trentaine d’œuvres sur la quarantaine qui nous est parvenue, tout en replaçant la vie et l’œuvre de ce maitre de la lumière artificielle et de la stylisation des formes dans le contexte du caravagisme triomphant à son époque.
Paris. Musée d’Orsay
Jusqu’au 11 janvier 2026.
À la découverte de la période la plus décisive de la carrière du peintre américain, celle de ses années de jeunesse à Paris durant lesquelles il a réalisé certains de ses plus audacieux tableaux comme son portrait de Madame X au délicieux parfum de scandale.
Paris - Musée des arts décoratifs
Jusqu’au 26 avril 2026.
Cent ans après l’exposition internationale des arts décoratifs et industriels modernes de 1925, le musée des Arts décoratifs célèbre ce style audacieux, raffiné et résolument moderne dans un parcours riche d’un millier d’œuvres, souvent iconiques, mais dans une scénographie manquant de décors pour nous plonger dans l’ambiance.
L’infiniment fini de M.C. Escher
Avec ses constructions impossibles, ses escaliers sans fin et ses jeux d’optique, le dessinateur et graveur Maurits Cornelis Escher (1898-1972) jouait avec l’infiniment fini. Une exposition remet en scène cet artiste hollandais aussi inventif que facétieux. Un régal d’inventivité et de fantaisie.